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Je m’appelle Manon, j’ai 35 ans, et je vis à Pornichet, à deux pas de l’océan. Je travaille comme tourmanager pour des artistes en tournée, un métier qui me fait beaucoup voyager et qui demande une grande disponibilité. Alors quand je rentre, j’ai besoin de me ressourcer dans l’eau, de me reconnecter à quelque chose de plus simple. Le kite m’offre cet équilibre.
J’ai découvert ce sport il y a huit ans. Pendant longtemps, je ne faisais que quelques sessions, quand l’occasion se présentait. J’habitais loin de la mer, je manquais de temps. Mais depuis deux ans, je suis revenue vivre sur la côte, et je vais à l’eau dès que je peux. Mon spot préféré est Pont Mahé, un endroit que j’aime particulièrement pour son vent souvent plus fort, son plan d’eau magique et les copains que je retrouve pour partager une bonne session.
Je ride en twin tip, et j’explore le freestyle et le big air. Je maitrise quelques figures mais il me reste encore beaucoup à apprendre. J’avance à mon rythme, je cherche à m’amuser en progressant, à sentir les déclics à chaque figure.
J’ai passé aussi pas mal de temps en voilier. J’ai été monitrice de voile pendant plusieurs années dans la baie et à Ste Marguerite, et j’ai navigué dans divers endroits: une transatlantique, les Antilles, les côtes africaines, l’Amérique du Nord… L’océan a toujours eu une place importante dans ma vie. C’est un environnement où je me sens bien et qui m’apaise.
Aujourd’hui, je navigue avec du matériel Core — les ailes Pace, la barre sensor 4 pro et la planche Era — pour leur précision, leur légèreté, leur pivot et leur facilité à m’accompagner dans ma progression.
Quand on m’a proposé de devenir ambassadrice, j’ai accepté parce que j’ai envie de contribuer à une image plus juste et plus diversifiée de ce sport. Montrer que les femmes sont bien là, sur l’eau, toute l’année — pas seulement sur des spots de rêve en maillot. Qu’on peut être une femme, rider en hiver, dans des conditions engagées, et y prendre autant de plaisir que n’importe qui. Pas besoin d’être pro, ni de coller à une image parfaite. Il y a mille façons de vivre le kite, et elles méritent toutes d’être visibles. J’aimerais aider à faire évoluer les représentations, à les rendre plus proches de la réalité, plus accessibles, et à montrer que ce sport est ouvert à toutes.
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